ProNaturA France vous fait découvrir "Oie Kamichi à collier"
| Reportage | "Elevage Conservatoire" | Oies | Vu 25916 fois
[ProNaturA-France] Vidéo N°21168
Kamichi à collier, Chauna torquata , appelé en anglais Southern Screamer (portée de voix de 3 kilomètres)
Statut de conservation UICN : Préoccupation mineure
Endémiques à l’Amérique du Sud, commun dans la pampa argentine, l’intérêt principal pour les conservateurs d’étudier cet oiseau est qu’il s’agit … d’une oie ! Ni bec plat, ni pattes palmées, il s’agit pourtant bien d’un ansériforme (famille des canards, oies et cygnes); les amateurs éclairés aiment beaucoup observer les espèces les plus atypiques d’une famille.
En effet, ceux-ci sont très souvent des groupes d’individus ayant peu évolué au fil des siècles (présence de vestiges « préhistoriques », des éperons osseux de plusieurs centimètres de long, sur les ailes) et l’éthologie appliquée permet de discerner certains comportements, plus marqués chez eux que chez les autres espèces, généralement homogènes. Ils permettent ainsi d’émettre certaines hypothèses quant aux besoins ou aptitudes d’autres membres de la famille … La conservation, c’est aussi l’observation et la remise en question.
Faible besoin en eau (mais apprécie se baigner), détention et maintenance largement maîtrisées (majoritairement herbivores comme les oies), reproduction et élevage des jeunes plus délicats : des protocoles se mettent en place et s’échangent entre passionnés, éleveurs amateurs et parcs zoologiques.
Statut de conservation UICN : Préoccupation mineure
Endémiques à l’Amérique du Sud, commun dans la pampa argentine, l’intérêt principal pour les conservateurs d’étudier cet oiseau est qu’il s’agit … d’une oie ! Ni bec plat, ni pattes palmées, il s’agit pourtant bien d’un ansériforme (famille des canards, oies et cygnes); les amateurs éclairés aiment beaucoup observer les espèces les plus atypiques d’une famille.
En effet, ceux-ci sont très souvent des groupes d’individus ayant peu évolué au fil des siècles (présence de vestiges « préhistoriques », des éperons osseux de plusieurs centimètres de long, sur les ailes) et l’éthologie appliquée permet de discerner certains comportements, plus marqués chez eux que chez les autres espèces, généralement homogènes. Ils permettent ainsi d’émettre certaines hypothèses quant aux besoins ou aptitudes d’autres membres de la famille … La conservation, c’est aussi l’observation et la remise en question.
Faible besoin en eau (mais apprécie se baigner), détention et maintenance largement maîtrisées (majoritairement herbivores comme les oies), reproduction et élevage des jeunes plus délicats : des protocoles se mettent en place et s’échangent entre passionnés, éleveurs amateurs et parcs zoologiques.
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