ProNaturA France Aquariophilie - Les dangers de l'aquariophilie


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Article N°27244

ProNaturA France Aquariophilie - Les dangers de l'aquariophilie

Lorsque l'on vient à parler des accidents liés à l’aquariophile, on est quasi certains de déclencher des crises de rires plutôt moqueurs.
 
Pourtant, si je me réfère à mes souvenirs personnels, et aux anecdotes qui m'ont été comptées, notre loisir, qui paraît si paisible, réserve quelquefois bien des surprises pas toujours très agréables. 

L’aquarium est en verre

Pour l'avoir maintes fois oublié, je ne souviens pas avoir fabriqué un seul aquarium sans en profiter pour m'entailler plus ou moins profondément (fort heureusement, souvent moins que plus) les doigts ou la main.

Rien n'est en effet plus traître que ces volumes de verre brut, aux arêtes en attente de ponçage ; je ne saurais trop vous conseiller de le faire immédiatement. L'oubli pourra éventuellement se solder par la pose de quelques points de sutures, comme j'ai pu en être témoin. Heureusement, dans la plupart des cas, la simple coupure se soignera à l'aide d'un désinfectant et d'une bonne bordée de jurons.

Que dire aussi de l'aquarium dont on a gentiment oublié de rabattre une arête, bien souvent au niveau des renforts. Il sera collé et mis en eau sans problème, jusqu'au jour où un cri su style "quel est l'abruti (la décence exige de ne pas employer le terme exact) qui a collé ce bac" vous fasse rappeler que, précisément ce jour-là, vous n'aviez pas retrouvé le papier de verre ou la pierre à poncer.
Un peu de prudence fera que les aquariophiles ne participeront pas au déficit de la sécurité sociale.


L’eau et l’électricité : un mélange « foudroyant ».
La plus élémentaire des prudences consiste à installer un disjoncteur différentiel en tête de ligne. 30 mA sont souvent préconisés mais n’hésitez pas à descendre à 10 mA c’est encore plus sécurisant mais ça ne supportera pas le moindre défaut !.
Le bac, ou plutôt l’eau du bac, est impérativement à mettre à la terre (résistance inférieure à 120 Ohms à vérifier absolument) ; le tuyau de cuivre qui passe derrière l’aquarium n’est vraiment pas une bonne idée pour cela !
Si le matériel est disponible, il est préférable d’utiliser une alimentation très basse tension (12 volts). C’est le cas des ventilateurs de refroidissement par exemple.
Il ne faut surtout pas hésiter à consulter un électricien professionnel pour toute installation. Les quelques euros dépensés peuvent sauver une vie… la vôtre peut-être !
En tout état de cause, la plus sage des précautions consiste tout simplement à couper l’installation électrique de l’aquarium avant d’y mettre les mains.

Certains poissons mordent

Section nette de la phalangette du 5è doigt gaucheConfondant aquarium et cirque, certains petits malins, faisant preuve d'un courage frisant la témérité, profiteront du nombre important de visiteurs admirant les mangeurs d'homme du club (j'ai cité les piranhas), pour travailler dans le bac. Devant le regard admiratif et quelque peu inquiet de l'assemblée, la même bordée de jurons que celle citée plus haut retentira. Dans le même temps, les alentours d'un doigt se teinteront de rouge et le retrait instantané du dit doigt sera accompagné d'un poisson désespérément accroché. Pêche au vif ? Non, tout simplement piranha affolé, n'ayant trouvé aucun autre moyen pour se défendre.
La visite à l'hôpital s'impose, suture et antibiothérapie oblige. Là, l'interne de garde mettra dix bonnes minutes avant d'accepter l'explication. Ce sera ensuite la période des paris. Chaque personne entrant en salle de soins se verra alors donner trente secondes pour trouver l'origine de la blessure (c’est du vécu !). En insistant un peu, notre pauvre victime pourra pratiquement signer quelques autographes.
En restant sérieux, mettre les mains dans un bac de piranha peut ne poser aucun problème pendant des semaines, jusqu'au jour où...
Le piranha n’est pas dangereux que dans l’eau. Témoin, ce jeune guyanais de Papaïchton, en Guyane, sur les rives du Maroni, qui, en voulant en sortir un d’une épuisette (il était destiné au déjeuner !) y a laissé un bout de doigt, tranché net (photos), d’où une visite en urgence au dispensaire local avec, peut être, l’espoir d’une greffe. Elle s’est révélé impossible ! (Ph. Dr Philippe Bargain ; dispensaire de Papaïchton)


Certains poissons piquent
Poissons scorpions, poissons pierres

Pourtant classées « espèces dangereuses », donc nécessitant certificat de capacité et autorisation d’ouverture (arrêté du 21 novembre 1997), on peut encore trouver, en bac d'eau de mer, certaines espèces de scorpénidés ou synancées (Ptérois volitans (Photo),P. radiata, Scorpaena porcus etc...).
La nature a transformé certains des rayons épineux de leurs nageoires en "machine à injecter du venin", aussi efficace que la meilleure des infirmières face à la partie la plus charnue de votre individu.
Or, si l'infirmière pique pour aider votre organisme à se défendre (sans compter qu’elle peut y prendre un certain plaisir si vous vous comportez en patient désagréable), les scorpénidés piquent pour se défendre. Leur appareil venimeux n'existe que pour ce rôle. L'espèce ne s'en sert jamais pour agresser délibérément. Vous comprendrez facilement que, dans l'aquarium, toute introduction étrangère paraissant dangereuse se traduira par une manœuvre défensive aussi rapide que douloureuse et dangereuse, d'autant plus que dans un espace aussi réduit, la fuite est impossible.
De plus, si les Ptérois sont parfaitement visibles dans un aquarium, les synancées ont la fâcheuse habitude de se confondre parfaitement avec le décor.
Pterois volitans possède par exemple possède par exemple 13 épines dorsales, trois anales et 2 pelviennes reliées à des glandes à venin.

L’intimidation et l’attaque
Dans un premier temps, le poisson prendra une position d'intimidation en déployant ses nageoires et en inclinant le corps vers le bas de façon à présenter les rayons durs de la dorsale.
C'est le moment de retirer, sans brusquerie, la main considérée comme dangereuse et elle-même en grand danger.
Si la menace persiste, notre poisson passe à l'attaque et, là encore, une bordée de jurons indiquera à l'entourage qu'un incident vient de se produire. La douleur est violente immédiate et irradie vers la racine du membre. Un œdème apparaît assez rapidement.

Les suites
L'évolution dépend de la taille du poisson, du nombre de piqûres et, de l'état de santé de l'aquariophile imprudent. En tout état de cause, la situation est à prendre au sérieux, le venin de ptérois ou de synancée étant très puissant.
Dans la première heure, apparaissent vertiges et nausées. Un état de faiblesse général s'installe. La tension artérielle chute. C’est l’état de choc pouvant avoir de graves, voire très graves conséquences.
Une consultation d'urgence s'impose.
Malheureusement, le sérum efficace n'est pas disponible en France.
Le traitement se fera en milieu hospitalier, à base d'antihistaminiques, d'antibiotiques voire de tonicardiaques si nécessaire, sans oublier le sérum antitétanique pour toute personne commettant l'impardonnable erreur de ne pas être vaccinée.
La guérison totale sera très longue, et demandera quelquefois plus d'un mois.

Ceci dit, il faut savoir que le venin de ces poissons est thermolabile, c'est à dire qu'il est détruit par la chaleur. Cette particularité est due au fait que l'agent transporteur est une matière colloïdale qui se transforme à une certaine température. L'action immédiate consistera donc à tremper la partie atteinte dans de l'eau très chaude (45° minimum ; attention aux brûlures qui pourraient présenter une gravité plus importante que la piqûre elle-même) ou encore à approcher le bout incandescent d'une cigarette à la limite du supportable. Dans ce cas, il y a lieu d'évacuer manu militari les partisans inconditionnels de la loi anti-tabac, présents dans les locaux.
L'expérience prouve que cette thérapeutique, aussi singulière soit-elle, donne d'excellents résultats, sans pour autant se dispenser d'une consultation aussi rapide que possible.

Raies
Les raies possèdent un organe venimeux situé au niveau de la queue. C'est donc en fouettant que la raie blessera l'aquariophile imprudent.
La blessure est douloureuse. Rapidement pourra s'instaurer une détresse ventilo-circulatoire plus ou moins importante avec ralentissement des battements cardiaques (bradycardie) et troubles du rythme pouvant amener un arrêt cardiaque. Un état de faiblesse s'installe avec nausées, anxiété et risques de perte de connaissance.
L'infection secondaire existe également et présente de grands risques. Bien entendu, les précautions d'usage devront être prises. Il y a donc lieu de consulter immédiatement.
Les Chondrichthyes, classe à laquelle appartiennent les raies, qu’elles soient d’eau douce ou d’eau de mer, sont classées espèces dangereuses par l’arrêté du 21 novembre 1997. Leur détention nécessite donc certificat de capacité et autorisation d’ouverture.

Poissons chats – Poissons cuirassés
Peu de ces espèces sont venimeuses. Par contre, les rayons durs de certaines de leurs nageoires sont susceptibles de causer des piqures douloureuses au manipulateur imprudent. Comble de malchance, ces blessures présentent des risques importants d’infection. Là encore, la vaccination anti-tétanique s’impose.

Certains poissons vous « électrisent »
Très peu présents dans les bacs des amateurs, ces poissons sont cités pour mémoire. La puissance de la décharge électrique est proportionnelle à la taille du poisson ; elle ne présente généralement pas de danger réel… Encore que l’on pourrait se poser des questions pour les personnes équipés d’un pacemaker. La FFA a posé la question à la faculté. La réponse est claire : aucun risque. S’ils le disent …
Attention, même avec l’installation électrique du bac coupée, le poisson envoie ses décharges !


Certains poissons coupent

Il s'agit là essentiellement des représentants de la famille des Acanthuridés, vivant en eau de mer. De très nombreuses espèces trouvent place dans nos aquariums.
Le danger est représenté par un "scalpel" érectile, normalement placé dans un fourreau, au niveau du pédoncule caudal. D’où le nom commun : poisson chirurgien. Sur la photo ci-contre, le "fourreau" orange de cet Acanthurus sohal est bien visible
Qu'une main imprudente saisisse ou apeure le poisson et ce scalpel est immédiatement érigé. Dans le même temps un "coup de queue" brusque et puissant le transforme en arme redoutable, capable d'inciser profondément toute partie charnue se trouvant à proximité.
Il n'y a pas injection de venin. La blessure devra donc être traitée de façon classique : désinfection et sérum antitétanique si nécessaire.


Cnidaires

Pour se protéger ou capturer leurs proies, de nombreux organismes marins produisent des toxines.
Heureusement pour les possesseurs d'aquariums d'invertébrés, l'immense majorité des animaux qui peuplent leurs bacs ne présentent que peu de danger.
La manipulation des anémones à main nue est possible mais, certaines espèces laissent, au contact, une impression plus ou moins désagréable, paraissant vouloir rester accrochées à la peau.
Il faut néanmoins se méfier de quelques espèces qui peuvent causer des "brûlures" plus ou moins graves.
Les coraux mous des genres Palythoa, Protopalythoa et Zoanthus (Photo ci-contre), bien connus des aquariophiles récifaux produisent une toxine appelée « palytoxine » qui peut être dangereuse pour l’homme. Elle possède notamment une action vasoconstrictrice très puissante.
Fort heureusement les cas d’intoxication restent rares mais pourraient progresser du fait de l’engouement croissant pour l’aquariophile récifale. Ils ont malgré tout fait l’objet de communications scientifiques.
Voir : https://www.fedeaqua.org/dans-la-nature/120-dans-l-eau/1158-palytoxine


Autres invertébrés

Ce sont, sans contestation possible, les espèces du genre Conus qui présentent le plus grand danger en aquarium. Heureusement, leur importation est très rare. Cet animal s'ensable, qu'une main imprudente s'en approche et, dans un réflexe de défense, le venin est injecté au moyen d'une trompe rétractile.
La douleur est localisée et, très rapidement, s'installe un état de faiblesse avec troubles ventilatoires, vomissements, tremblements etc... La mort peut survenir chez certains sujets sensibles, notamment chez les enfants.
Il faut noter également les risques encourus par les possesseurs de poulpe, même si les morsures sont rares. Ce céphalopode produit en effet du venin au niveau de certaines glandes salivaires. Des cas mortels ont été signalés chez l'homme.
Fort heureusement, ces animaux sont extrêmement rares dans les bacs de particuliers.
Une substance toxique, capable de causer une augmentation de la tension artérielle chez l'homme, aurait été identifiée chez 2 espèces d’oursins du genre Echinothrix. Par ailleurs, les piqures résultant du contact avec les « piquants » de ces animaux ont une fâcheuse tendance à d’infecter.
Les concombres de mer peuvent causer quelques désagréments, notamment de l'érythème, au manipulateur imprudent.


Dans l’eau, il n’y a pas que des poissons, il y a aussi des microbes

La maladie des aquariophiles

Il semble qu'actuellement, une seule pathologie soit due à l’aquariophile. Elle porte d'ailleurs le nom de "maladie des aquariophiles".
L'agent qui en est responsable est Mycobactérium marinum, cause de la tuberculose des poissons. La contamination s'effectue à partir d'une plaie déjà existante.
Après une période d'incubation de 2 à 8 semaines, une petite élévation (papule - photo ci-contre) d'un bleu-violet apparaît autour de la lésion initiale. Une ou deux semaines plus tard, se constituent un ou plusieurs nodules qui peuvent s’insérer ou se sur-infecter. Il peut y avoir atteinte des gaines des tendons et des articulations situées à proximité. Ni fièvre, ni signes biologiques d'infection n'apparaissent.

Le diagnostic est assez difficile à poser du fait que les médecins se trouvent en présence d'une maladie rare, donc peu connue. Généralement, après des traitements inefficaces, ce sont des analyses effectuées à partir de prélèvements qui permettront d'isoler le germe et de le détruire l'aide d'une antibiothérapie adaptée.

La guérison peut être spontanée, après plusieurs mois d'évolution mais, le plus souvent un traitement anti-tuberculeux classique sera nécessaire. Dans les cas les plus sérieux, une intervention chirurgicale destinée à nettoyer en profondeur la partie atteinte, devra être envisagée.
Il est donc important de connaître ce risque de façon à pouvoir éventuellement diriger le diagnostic médical.
La Fédération Aquariophile de France peut vous adresser, sur simple demande, une communication médicale traitant ce sujet.

La bouche n’est pas un aspirateur !
Même si la bouche n’est pas stérile puisqu’elle abrite aux environs de 700 espèces de bactéries, il est inutile d’en ajouter d’autres venant de l’aquarium. D’autant plus que la cavité buccale est reconnue comme source d’infections à distance.
Il existe suffisamment de « systèmes » adaptés pour vidanger nos bacs. Une pompe d’aspiration coûtera toujours moins cher (à la sécurité sociale) qu’une infection buccale.


Risques allergiques

Les larves de moustiques ou Chironomus (vers de vase - photo ci-contre) utilisées comme nourriture pour nos poissons d’aquariums peuvent déclencher des réactions allergiques notamment respiratoires. C’est ce qu’il résulte d’une étude menée au Japon où 40% des patients souffrant d’asthme présentaient un taux important d’anti-corps spécifiques du Chironomide. Des études menées aux USA, en Grande-Bretagne et en Corée ont confirmé ce risque à tel point que certains chercheurs suggèrent de considérer les Chironomus comme allergène respiratoires puissants. La sensibilisation est liée à l’hémoglobine qui les colore en rouge.
An cas d’allergie dont la cause n’est pas identifiée, il est donc impératif de signaler au médecin la manipulation de larves de moustiques de façon à diriger la recherche de l’allergène.


La trousse de secours

La trousse de secours de l'aquariophile n'a rien de particulier. C'est celle que l'on doit trouver chez Monsieur Tout le monde. Il faut savoir que le savon classique est un excellent désinfectant.
Évitez les produits colorés qui masquent la rougeur, premier signe d'une éventuelle infection :

  • La bétadine est un excellent désinfectant.
  • Compresses et sparadrap.
  • Pansements classiques.
Enfin, je ne saurais trop vous conseiller une vaccination antitétanique, protection efficace contre toutes les blessures de la vie quotidienne. Une simple piqûre d'aiguille peut en effet causer cette redoutable maladie qu'est le tétanos qui entraîne encore quelques décès chaque année (une dizaine en France, plus de 20 000 dans le monde). La vaccination anti tétanique peut sauver une vie ; la vôtre.

Conclusions
Aussi minimes voient-ils, les risques existent au sein de l'aquarium. Il est donc nécessaire que l'aquariophile en soit conscient en permanence, à partir du moment où il plonge les mains dans l'eau.
Au moindre doute, la consultation d'un médecin s'impose. Si cela est évident en cas de piqûre ou de morsure grave, il existe des problèmes plus insidieux pour lesquels les relations avec l'aquarium ne sont pas évidentes. C’est le cas de la maladie des aquariophiles pour laquelle le diagnostic pourrait être retardé, du fait notamment de la rareté (?) de cette affection reconnue maladie professionnelle pour … les professionnels.
Enfin, nous n’insisterons jamais assez sur la nécessité absolue de la protection antitétanique, indispensable dans la vie de tous les jours, et pas seulement pour l'aquariophile.
Survivre à l'attaque d'un piranha ou à la charge d’un ptéroïs pour mourir du tétanos, voilà qui n'est pas très sérieux !!!

J.J. Lorrin

BIBLIOGRAHIE
  • VALETTE Guillaume; Les organismes marins toxiques et venimeux; Aquarama n° 71/3-1983, 72/4-83.
  • NIEL Alain ; Le traitement des piqûres de rascasses poules (Ptérois); Aquarama n° 54/4-1980.
  • PACCAUD A., Accident avec un Ptérois volitans; Aquarama n° 48/4-1979
  • Atlas des animaux venimeux et animaux vénéneux ; Globus éditions; Paris; 1975.
  • BAGNIS R., MAZELLIER P., BENETT J., CHRISTIAN E.; Poissons de Polynésie; Editions du Pacifique PAPEETE - ALBIN MICHEL.
  • HARMS Jan-dirk ; Anesthésiste-réanimateur/Unité de soins hyperbares/Service des urgences Groupe Hospitalier Sud Réunion 97410-Saint-Pierre ; plaie par dard d’une raie aigle ; 2005
  • SENNEVILLE E., AJANA E. ; LECOCQ P. ; SIVERY B. ; CAILLAUX M. ; MOUTON Y. - La maladie des aquariophiles. A propos de deux cas. Sem Hop Paris, 1991, 67, n°8, 263-266
  • AUBRY P., GAÜZERE B-A. Illustrations A. BOULDOUYRE. Splendeurs et dangers de la faune marine. Envenimations, intoxications, blessures, traitements. Médecine : Edition Xavier Montauban, Paris 2010, 159 p.

Jean Jacques LORRIN

Lien :www.fedeaqua.org

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  • Sarah :03/12/2022 08:32:52 Nan mais faut dire aussi ..avoir un PIRANHA à la maison ??? On râle après les possesseurs de Doberman, mais en fait ....
  • Sarah :03/12/2022 08:31:33 Excellent !!! franchement je n ‘ aurais jamais cru que ce soit aussi compliqué d’avoir un aquarium ! les aquariophiles sont des HEROS !!!!
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